OPUS INCERTUM, EMPILEMENT DE LISTES    

 

 

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Listes de Geneviève Guhl & Claire Haenni

Invités à lister :

Ambroise Héritier, Ilil Land-Boss, Thomas Laubacher, Michèle Pralong, Manon Pulver, Yvette Théraulaz

 

Conception – écriture – mise en scène Geneviève Guhl

Collaboration artistique – écriture Claire Haenni

Jeu Nathalie Boulin, Nathalie Cuenet, Ilil Land-Boss

Scénographie Natacha Jaquerod

Costumes Florence Magni

Lumière Jonathan O’Hear

Presse & diffusion Anne Perrin

Photographies Léandre Séraïdaris, Martin René

Administration Beatrice Cazorla

 

 

Création Petithéâtre – Sion du 16 septembre au 1 octobre 2011

Diffusion Théâtre ABC – Temple allemand Chaux-de-Fonds les 25&26 octobre 2011 – Théâtre Oriental hors les murs à l’Eglise Sainte Claire – Vevey, du 23 au 27 novembre 2011 Théâtre de la Parfumerie – Genève du 19 au 30 décembre octobre 2011 Théâtre du Crochetan- Hôpital psychiatrique de Malévoz – Monthey du 21 au 24 fevrier 2013 Grange de Dorigny – Lausanne du 28 février au 2 mars 2013

 

Opus incertum, empilement de listes est une co-production L’ascenseur à poissons I cie & le Petithéâtre de Sion, le Théâtre Oriental Vevey, le Théâtre ABC Chaux-de-Fonds, le Théâtre de la Parfumerie Genève, le Théâtre du Crochetan, la Grange de Dorigny, Le service socioculturel de l’Hôpital psychiatrique de Malévoz

 

Avec le soutien de la Ville de Sion, de l’Etat du Valais, Action intermittents, la Loterie Romande, la Ville de Genève, l’Etat de Genève, la Migros, CORODIS, la Ville de Monthey.  Remerciements à l’équipe de l’ABC pour leur chaleureux accueil, à Michaël Abbet et José-Manuel du Petithéâtre de Sion, au théâtre de la Parfumerie à Genève, à Jean-Bernard Gilloz, Eliane Beytrison, Clarence Stiernet, Françoise et Jean-Charles Haenni, Virgile Elias Gehrig, Dominique Favre-Bulle, Nicole Gredy.

 

 

Comment nous égrenons ces mots, ces successions d’idées ? Comment les listes chantent-elles leurs litanies parfois seules parfois entre elles ? Quelles géométries des listes et des corps dans l’espace ? Quels rythmes chacune d’elles portent ? Quelles possibilités polyphoniques ont-elles entre elles ? Quelles évocations de situations entre les acteurs sont possibles ? Quelles attitudes et types de jeu ? Quels mouvements les accompagnent, concrets ou abstraits, absurdes ou simplement beaux ? Quelles lisibilités de l’espace de ces listes sur le plateau, entre les acteurs ? Comment chacun investi le plateau ? Qui sommes-nous sur scène ? Comment développer la vie d’une présence sur scène ? Tout cela bien sûr en lien avec le(s) sens que nous dénichons dans ces textes, en ayant essayé de le faire sans apriori. Ce geste commun, ce spectacle, concerne de façon globale, les champs extrêmes - du singulier au général - de la distance à l’absence de distance - du quotidien au rêve. Geneviève Guhl

 

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